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L’émission POKER a récemment accueilli la Professeure Francine NTOUMI, qui a partagé des perspectives cruciales sur ces sujets, soulignant les défis et les opportunités pour la recherche médicale et la santé publique en Afrique. Retrouvez l'intervention complète ici.

La pandémie COVID-19 a été une opportunité pour de nombreux pays dont la république du Congo pour tirer des leçons importantes sur sa préparation et sa réponse aux crises sanitaires. Elle a aussi permis aux scientifiques de renforcer leurs échanges et de communiquer différemment et surtout plus efficacement. La Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale (FCRM) a été au cœur de cette mobilisation, contribuant activement à des études épidémiologiques. Cependant, l’intégration des résultats de ces recherches menées dans les politiques publiques demeure limitée, soulignant la nécessité d’une meilleure collaboration entre les chercheurs et les décideurs locaux.

L’importance d’investir dans la recherche scientifique en Afrique a été mise en lumière, la Professeure NTOUMI ayant insisté sur le fait que le manque de financement freine le développement de solutions adaptées aux contextes locaux, renforçant ainsi la dépendance aux aides extérieures. La pandémie de COVID-19 a aussi révélé la nécessité de produire des vaccins sur le continent pour accroître l’autonomie sanitaire des pays africains.

Actuellement, une équipe multidisciplinaire incluant l'université de Kinshasa, l'Institut National de Recherche Biomédicale et la FCRM, en collaboration avec des institutions européennes et organismes internationaux tels que l’OMS, l'Africa DCDC et l’UNICEF, œuvre à combattre l'épidémie de Mpox en République Démocratique du Congo dans le cadre du projet Mpox-Probe financé par le programme EDCTP3. Cette équipe adopte une approche collaborative pour contenir l’épidémie et sensibiliser les populations à la vaccination. 

La Professeure NTOUMI a également mentionné un programme de bourses régionales soutenu par la Fondation Bayer, qui vise à promouvoir l'accès des femmes de la sous-région Afrique Centrale à des formations scientifiques au niveau doctoral. 

Dans le domaine de la santé publique, la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale poursuit sa mission d'utilité publique, en formant des professionnels de la santé et en améliorant l’accès aux soins. La création d’une polyclinique moderne avec des services de télémédecine constitue une avancée majeure pour offrir des soins de qualité et accessibles.

Le 31 octobre 2024, dans le cadre du programme Femmes & Sciences, la Professeure Francine NTOUMI a eu le plaisir de recevoir 12 jeunes filles au Centre de Recherche sur les Maladies Infectieuses (CeRMI) de la FCRM. Cette initiative vise à #TransmettreLambition aux jeunes filles, en leur offrant des modèles inspirants et des opportunités d’apprentissage directes auprès de professionnelles d’exception.

Lors de cet échange inspirant, la Professeure Ntoumi a partagé son parcours, abordant ses réussites et les nombreux défis qu'elle a dû relever, rappelant à ces jeunes filles que les obstacles doivent servir de moteur pour booster leur ambition. Elle les a encouragées à être résilientes, déterminées et à croire en leur capacité à exceller dans les sciences et dans leurs communautés. Ce moment a également permis de discuter de sujets essentiels tels que l'importance de l’hygiène menstruelle, el harcèlement moral et sexuel, la place des femmes handicapées dans le monde du travail.

Le programme Femmes & Sciences de la FCRM, incarné par le slogan #TransmettreLambition, reflète l’engagement de l’institution à inspirer et accompagner la prochaine génération de femmes scientifiques en leur ouvrant la voie vers des parcours ambitieux et prometteurs dans les sciences.

Les Premières Rencontres Scientifiques Internationales « Périnatalité et Cognition », organisées les 30 et 31 octobre 2024 à l’Hôtel de PEFACO à Brazzaville, ont marqué un moment fort dans le domaine de la recherche en santé mentale en république du Congo. Placé sous le parrainage du Ministère de la Santé et de la Population, cet événement a été rendu possible grâce à la collaboration de la Société Congolaise de Santé Mentale (SOCOSAM), de la FCRM et de son groupe de recherche GERMESSCA, ainsi que du Laboratoire CHArt (EPHE – Université Paris Sciences Lettres, France). Ces journées visaient à explorer en profondeur les liens cruciaux entre la périnatalité et le développement cognitif, offrant une plateforme d’échanges enrichissants pour les chercheurs, cliniciens, et professionnels de la santé.

Les interventions de trois experts de renommée internationale ont capté l’attention des participants. Le Professeur Alain Mouanga, Directeur Médical de la FCRM et Président de la SOCOSAM, a partagé son expérience et son expertise en matière de santé mentale et de cognition périnatale, offrant un point de vue unique sur les défis spécifiques auxquels font face les populations locales. À ses côtés, la Professeure Michèle Chabert, spécialiste reconnue en psychologie du développement, a abordé l’impact des soins périnataux sur la santé cognitive des nouveau-nés et des jeunes enfants, soulignant l’importance d’une prise en charge globale dès les premières phases de la vie. Enfin, la Professeure Amina Barkat, pédiatre émérite et pionnière en néonatalogie, a mis en lumière les avancées médicales récentes en matière de santé périnatale et leur rôle fondamental dans le développement cognitif.

Ces premières rencontres ont permis d’aborder des thématiques d'une importance capitale pour l’avenir de la santé mentale et cognitive des jeunes générations. À travers des discussions, des ateliers et des sessions de travail, les intervenants ont partagé des connaissances scientifiques, des résultats de recherches récentes et des pratiques innovantes, visant à renforcer les bases de la prise en charge périnatale. Cette collaboration scientifique a ainsi ouvert de nouvelles perspectives pour la mise en place de programmes de prévention, de suivi et de soutien aux jeunes parents, avec pour ambition de promouvoir un développement sain et harmonieux chez les enfants.

Les Premières Rencontres Scientifiques Internationales « Périnatalité et Cognition » ont ainsi permis de poser les bases d'une coopération durable entre chercheurs congolais et internationaux. L'événement témoigne de l'engagement de ces acteurs à promouvoir la recherche et l’innovation pour l'amélioration de la santé et du bien-être des générations futures, consolidant la place de Brazzaville comme centre dynamique de la recherche en Afrique centrale.

Les 4es Journées Médicales Congolaises de France, organisées par l’Association des Anciens Étudiants de l’INSSSA (actuelle Faculté des Sciences de la Santé), ont été un événement marquant pour les professionnels de santé congolais et leurs partenaires. Le thème général de cette édition était "Maladies chroniques non transmissibles : diabète, HTA, insuffisance rénale chronique et cancers. " Dans ce cadre, le Professeur Alain Mouanga a développé le sous-thème "Les élites médicales du Congo Brazzaville face à leur responsabilité sociétale : état des lieux en 2024."

Ce thème souligne l’importance du rôle des médecins et autres professionnels de santé dans le développement durable du système de santé congolais, ainsi que leur responsabilité sociétale en tant qu'acteurs clés dans la réalisation du droit à la santé pour tous.

Les 4es Journées Médicales Congolaises de France, organisées par l’Association des Anciens Étudiants de l’INSSSA (actuelle Faculté des Sciences de la Santé), ont été un événement marquant pour les professionnels de santé congolais et leurs partenaires. Le thème général de cette édition était "Maladies chroniques non transmissibles : diabète, HTA, insuffisance rénale chronique et cancers. " Dans ce cadre, le Professeur Alain Mouanga a développé le sous-thème "Les élites médicales du Congo Brazzaville face à leur responsabilité sociétale : état des lieux en 2024."

Ce thème souligne l’importance du rôle des médecins et autres professionnels de santé dans le développement durable du système de santé congolais, ainsi que leur responsabilité sociétale en tant qu'acteurs clés dans la réalisation du droit à la santé pour tous.

Les Journées Médicales ont offert une plateforme d’échange unique, où médecins, chercheurs, et étudiants en médecine ont pu partager leurs expériences et explorer des solutions aux défis sanitaires qui touchent le Congo Brazzaville. Parmi les sessions les plus marquantes, des discussions approfondies ont porté sur la prise en charge du diabète chez l'enfant, notamment en Afrique, et sur les avancées dans le diagnostic et le traitement de l’insuffisance rénale chronique. Les interventions des experts ont mis en lumière la nécessité d’adopter une approche globale et coordonnée, mobilisant à la fois les professionnels de santé, les décideurs politiques et la société civile pour améliorer la prise en charge de ces pathologies.

En conclusion, le thème  "Les élites médicales du Congo Brazzaville face à leur responsabilité sociétale" a non seulement permis de faire un état des lieux des défis actuels du secteur médical congolais, mais a également ouvert la voie à de nouvelles perspectives d'amélioration, en soulignant l'importance de l'engagement des élites médicales pour le développement de la santé publique. Le Professeur Alain Mouanga a appelé à une mobilisation collective pour répondre à ces défis, afin de rendre la médecine plus accessible et de contribuer au progrès de la société dans son ensemble.

Du 7 au 12 octobre 2024,  une équipe du centre de recherche sur les maladies infectieuses de la FCRM a participé à la 10e réunion du Comité de Pilotage du projet TB Portail, à Kampala. Cet événement crucial a permis de présenter les progrès réalisés en République du Congo, notamment l'enregistrement des données de 424 patients atteints de tuberculose entre 2022 et 2024. Parmi les représentants de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale (FCRM) figuraient Bréli Ngouama et Dr Jean-Claude DJONTU. Les discussions ont porté sur les difficultés rencontrées dans la collecte des données de suivi des patients souffrant de tuberculose et les moyens de les résoudre.

En réponse, des collaborations avec le laboratoire de sécurité nivea 3 (P3) de Brazzaville ont été mises en place pour le renforcement des capacités, incluant la culture des échantillons de Mycobacterium Tuberculosis. Cette initiative sera accompagnée d'une formation spécialisée sous la supervision d'un expert de l'OMS, afin de standardiser le protocole expérimental.

Les échantillons obtenus seront ensuite envoyés en Allemagne pour un séquençage génomique complet, permettant ainsi d'améliorer la surveillance et la prise en charge des patients. Cette mission s'inscrit dans un cadre plus large de collaboration internationale visant à moderniser les infrastructures et les pratiques médicales pour une meilleure gestion de la tuberculose.

Nous remercions tous les partenaires impliqués pour leur soutien continu dans cette initiative de santé publique de grande envergure.

La Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale (FCRM) renforce continuellement son engagement pour la formation et le développement des compétences scientifiques, en partenariat avec l'Université Marien NGOUABI. Ce partenariat stratégique a récemment permis de former et d'accompagner plusieurs doctorants dans la supervision de leurs travaux au laboratoire et sur le terrain, dont les soutenances de thèse ont couronné des années de travail rigoureux.

Parmi les piliers de cette collaboration figure le soutien au développement du personnel enseignant. Docteur Viny ELENGA et Docteure Darel ELION ASSIANA, deux figures montantes de l’Université Marien NGOUABI, ont ainsi bénéficié de ce partenariat qui vise à renforcer les capacités pédagogiques et scientifiques de l’institution. Leur engagement illustre parfaitement la mission de la FCRM : contribuer à l’essor d’une génération de chercheurs et d’enseignants de haut niveau, capables de relever les défis scientifiques et de stimuler l’innovation technologique en République du Congo.

La récente vague de soutenances de thèses de doctorat d'université au sein des apprenants de la FCRM est le témoignage concret de la vitalité de ce pôle de formation. Les nouveaux docteurs, issus de programmes de formation exigeants, sont désormais prêts à apporter une contribution significative à la communauté scientifique nationale et internationale.

Pour en savoir plus sur cet événement marquant et revivre les moments forts des soutenances, vous pouvez visionner la vidéo en suivant ce lien : https://youtu.be/6g9UIgQCZZY

Le 16 septembre est désormais proclamé Journée internationale pour la science, la technologie et l'innovation dans le Sud par les Nations Unies. À cette occasion, Prof. Francine NTOUMI, scientifique congolaise, nous rappelle la responsabilité immense des chercheurs des pays du Sud en tant qu’acteurs clés du développement. Elle souligne les défis auxquels ces pays font face, notamment dans l'écologie et la santé, et appelle à des efforts continus pour trouver des solutions scientifiques adaptées à nos réalités.

Malgré des obstacles importants, tels que la faiblesse des financements, le manque d’infrastructures adéquates et la dépendance vis-à-vis des pays du Nord, elle voit dans ces difficultés une motivation supplémentaire pour innover. En matière de santé, elle plaide pour des essais cliniques mieux adaptés aux populations locales et insiste sur l'importance cruciale d'investir davantage dans la recherche et le développement.

Enfin, elle met en avant le rôle essentiel de la jeunesse, porteuse d'espoir pour l'avenir, en soulignant qu'une meilleure formation de cette génération est la clé pour changer la donne.

Regardez son message inspirant dans cette vidéo : https://youtu.be/ppRNyjNCwHQ

Professeure Francine NTOUMI a récemment participé à la Conférence de mi-mandat des Centres mondiaux, organisée par le DAAD ( Deutscher Akademischer Austauschdienst Dienst) en 2024. Cet événement fait suite à la conférence d'ouverture de ce programme en septembre 2022. Pour cette édition, les centres se sont concentrés sur deux thématiques majeures : le climat et l'environnement, ainsi que la santé mondiale et la prévention des pandémies. Les conférences, bien que tenues séparément, ont comporté des parties communes permettant un dialogue global et interdisciplinaire.

La participation de Professeure NTOUMI à la conférence sur la santé mondiale et la prévention des pandémies intitulée « Actions mondiales pour une santé durable pour les personnes et la planète » s'inscrit parfaitement dans son engagement de longue date pour des actions durables de santé publique en Afrique et à l'échelle mondiale. Cette plateforme a permis de renforcer les collaborations scientifiques non seulement entre les institutions allemandes et les institutions du Sud global mais aussi entre institutions du Sud global et d'explorer des actions concrètes pour améliorer la santé des populations tout en tenant compte des défis environnementaux.

Ces conférences visaient à favoriser le réseautage des centres mondiaux du DAAD et à encourager l'échange de connaissances dans les domaines cruciaux de la santé et du climat, des enjeux qui, plus que jamais, nécessitent des réponses mondiales et intégrées.

Nous avons le plaisir d’annoncer l’ouverture des candidatures pour une formation pratique en biofabrication organisée par le Centre international de génie génétique et de biotechnologie (ICGEB) en collaboration avec le Réseau d'Excellence CANTAM. Cette formation de deux semaines se déroulera du 18 au 29 novembre 2024 à l’Unité de Développement de Biotechnologie (BDU) de l’ICGEB à Trieste, en Italie. Elle est destinée aux étudiants en sciences de la vie (BSc, MSc, PhD), postdoctorants, techniciens, ingénieurs, et managers membres du Réseau d'Excellence CANTAM, qui possèdent une expérience limitée en bioprocédés.

Ce programme intensif vise à doter les participants des compétences pratiques nécessaires à la production de biothérapeutiques, en mettant l’accent sur les bonnes pratiques de fabrication (GMP) appliquées dans l'industrie biopharmaceutique. Les participants auront également l'occasion unique de réseauter avec des scientifiques de renommée mondiale de l'ICGEB, renforçant ainsi leurs perspectives professionnelles.

Les candidats sélectionnés pour cette formation bénéficieront d’un programme complet incluant des sessions théoriques et pratiques sur la biofabrication. Le programme couvrira également les frais de vols aller-retour vers Trieste ou Venise, l’hébergement avec petit-déjeuner, une indemnité journalière pour les repas et le transport local, ainsi que le remboursement des frais de visa.

Pour postuler, les candidats doivent soumettre un dossier comprenant une déclaration de motivation de 300 mots maximum, une note conceptuelle d'une page sur le projet de recherche proposé, un CV récent de deux pages maximum, des copies des relevés de notes et certificats pertinents, deux lettres de soutien de références professionnelles, les coordonnées complètes du candidat, ainsi qu'une copie valide de leur passeport. Les candidatures doivent être envoyées par email au Secrétariat du CANTAM à l’adresse info@fcrm-congo.com ou nkahleo@gmail.com au plus tard le mardi 16 août 2024 à 17h00 (WAT).

La sélection des candidats se déroulera en deux étapes. La première consistera en l’évaluation des déclarations de motivation et des notes conceptuelles, tandis que la seconde impliquera des entretiens virtuels ou en face-à-face pour les candidats présélectionnés.

Cette formation représente une opportunité exceptionnelle pour acquérir des compétences de pointe dans le domaine de la biofabrication et se préparer à des rôles avancés au sein de l'industrie biopharmaceutique. Nous encourageons vivement tous les candidats éligibles à soumettre leur dossier avant la date limite.

Pour plus d’informations et pour télécharger le PDF de l'annonce officielle, cliquez sur le lien suivant : Télécharger l'annonce PDF.

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à visiter notre site web : www.cantam.net.

Le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki, et la directrice régionale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’Afrique, Matshidiso Moeti, ont présenté, ce vendredi 02 Août 2024 au président du Sénat, Pierre NGOLO, les enjeux de la 74e session du comité régional, prévue du 26 au 30 août prochain à Brazzaville.

L’un des enjeux majeurs de la prochaine session de l’OMS pour l’Afrique est l’élection du nouveau directeur régional qui succédera au Dr Matshidiso Moeti qui a passé 15 ans à la tête de cette institution.

La rencontre à laquelle prendra part le directeur général de l’OMS connaîtra la participation des ministres des 47 pays d’Afrique ainsi que des partenaires qui s’occupent de la santé. « Nous allons parler et discuter de la santé : les progrès, les enjeux, les problèmes, comment nous pouvons travailler ensemble pour appuyer nos gouvernants, nos pays et la population en Afrique pour la bonne santé.

Il y aura beaucoup de partenaires aussi avec qui nous travaillons tels que les bailleurs de fonds, les autres organisations qui s’occupent de la santé.

Cela nous donnera une opportunité de voir là où nous sommes, quels sont les progrès, qu’est-ce qu’il y a à faire encore ensemble pour améliorer la santé de la population de nos pays africains », a expliqué le Dr Matshidiso Moeti.

La directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique qui s’apprête à quitter le Congo dans plus de six mois s’est félicitée de l’appui de ce pays à son institution. « Il était important de venir briefer monsieur le président du Sénat, nous sommes en train d’appuyer le pays à améliorer le système de santé surtout au niveau primaire.

Si la population doit bénéficier de cela, il faut que les gestionnaires et les parlementaires l'encouragent, travaillent avec elle pour décentraliser le système de santé afin de l’élargir dans le pays.

Nous appuyons l’initiative du gouvernement de décentraliser les financements, l’accès et la formation au niveau de base au Congo », a-t-elle conclu.