Dernières actualités



La présidente de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale a effectué une visite de travail du 02 au 03 mars 2023 à Kinshasa en République Démocratique du Congo.

Invitée par l'université de Kinshasa, la présidente de la FCRM a entamé ses activités par la rencontre à l’Institut national de recherche biomédicale (INRB) d'un éminent scientifique, le professeur Jean-Jacques Muyembe (Virologue), directeur de cet institut,  notamment connu pour être l'un des codécouvreurs du virus Ebola en 1976.

Ensuite s'est ensuivi, un échange sur les “Outils pour le contrôle et l’élimination du paludisme” avec les enseignants et  étudiants de la faculté de médecine, service d'écologie et contrôle des maladies infectieuses de l'université de Kinshasa  inscrits en master.

Enfin, à l'issue de cette visite de travail le 03 mars 2022, et en prélude de la journée internationale des droits de la Femme, la présidente de la FCRM a eu une causerie scientifique avec les femmes de l'Université de Kinshasa sous le thème : "Femmes et sciences, défis pour notre contribution au développement". Une tribune qui a permis à toutes les femmes scientifiques présentes dans la salle de faire un retour d'expérience sur leurs brillants parcours (succès, échecs...).

Ce fut également une occasion offerte à la présidente de la FCRM de présenter le programme Femmes et Sciences initié en 2014, mais aussi d'inviter les participantes à continuer à faire le plaidoyer pour une présence significative des femmes dans les sciences en République Démocratique du Congo.

"Ensemble, œuvrons main dans la main avec les gouvernements, le secteur privé et la société civile pour bâtir une société plus inclusive, juste et prospère au bénéfice des femmes, des filles, des hommes et des garçons du monde entier. Ensemble, œuvrons main dans la main avec les gouvernements, le secteur privé et la société civile pour bâtir une société plus inclusive, juste et prospère au bénéfice des femmes, des filles, des hommes et des garçons du monde entier."
 
António Guterres

Initiatrice du programme "Femmes et Sciences" en République du Congo depuis 2014, la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale a pris part à la célébration Nationale de la Journée Internationale des Femmes et Filles de Science organisée par le Ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l'Innovation Technologique ce samedi 18 février 2023 dans la salle du Canal Olympia de Brazzaville.
 
Au cours de cette célébration, deux femmes de sciences formées par la FCRM ( Lobaloba Line et Mikounou Vivaldie) ont présenté leurs travaux de recherche sur :
 
"La séroprévalence des anticorps spécifiques à la protéine Spike de SARS-COV-2 chez les Congolais ne présentant pas les symptômes de COVID-19", dont les résultats suggèrent que plus de 26% de la population congolaise durant la période du 30 mars jusqu’en août 2020 avaient été exposés au virus SARS-COV-2;
 
"Épidémiologie moléculaire et surveillance des Rotavirus, Norovirus et adénovirus circulant chez les enfants congolais souffrant de gastroentérite" dont le but est de fournir les données de base sur les virus entériques chez les enfants de moins de 5 ans en République du Congo après l'introduction du vaccin contre rotavirus dans le programme national de vaccination.
 
La Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale (FCRM), reste engagée dans le plaidoyer pour une présence significative des femmes dans les sciences.

La 8e Journée internationale des femmes et des filles dans la science est célébrée cette année sous le thème international :  Innover. Démontrer. Élever. Avancer. Soutenir. (I.D.E.A.S.).

Ce thème qui se focalisera sur le rôle des femmes et des filles et de la science, au profit des Objectifs de développement durable (ODD) qui seront examinés lors du prochain Forum politique de haut niveau (HLPF) : l'Objectif 6 (eau et assainissement), l'Objectif 7 (énergie abordable et propre), l'Objectif 9 (industrie, innovation et infrastructure), l'Objectif 11 (villes et communautés durables) et l'Objectif 17 (partenariats) ; est un appel lancer à toutes les femmes et filles engagées dans les sciences à libérer l’immensité de leur talent afin qu'elles jouent un rôle important dans  les différents secteurs cités dans les ODD.

En réponse à ce mot d'ordre,  la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale (FCRM), initiatrice du programme FEMMES ET SCIENCES depuis 2014, réitère son engagement à continuer à faire le plaidoyer pour une présence significative des femmes dans les sciences. Dans ses activités quotidiennes, la FCRM encourage l'étudiante en Master, en thèse ou en post-doctorat à regarder son environnement pour mieux le décrire afin de trouver des solutions locales adaptées. La visibilité sur les actions conduites par les femmes de science est nécessaire.

La FCRM invite les femmes et filles de sciences à affirmer leurs droits en brisant les stéréotypes, les préjugés et les barrières structurelles dans le but d'atteindre les différents objectifs de développement durable cités ci-haut.

Bonne journée des femmes et filles de sciences à toutes !

La Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale vous invite à retrouver Robert BRAZZA et la professeure Francine NTOUMI dans un numéro inédit de "SOUS LA LUMIÈRE". La scientifique congolaise parle de son parcours, présente sa fondation et surtout de son plaidoyer pour les femmes dans les sciences. 

Créée en septembre 2021 par Robert BRAZZA via sa maison de production BNRProdLtd, l'émission "SOUS LA LUMIÈRE"  est devenue une institution continentale qui met sous les projecteurs une Afrique positive,  ambitieuse, tournée vers son histoire et notamment une Afrique dont les filles et les fils changent les règles sur le continent et à travers le monde. Sous la Lumière a reçu sur ses fauteuils mythiques des personnalités de divers horizons à l'instar de : Youssou Ndour (Artiste-musicien, Entrepreneur, Homme politique - Senegal), Pathé O (Styliste - Côte d'Ivoire), Fally Ipupa (Artiste-musicien - RDC), IRON Biby (Athlète -Burkina Faso).

Un numéro à ne pas rater ce dimanche 29 janvier 2023 à 19 h 30 sur CANAL+ PREMIÈRE

Le consortium PANDORA-ID NET coordonné par la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale se réjouit de la publication du numéro spécial du Lancet sur l'approche Une seule Santé et la sécurité mondiale.
La pandémie de COVID-19 a mis en évidence l'interdépendance de la santé humaine, de la santé animale et de l'environnement. Cette série du Lancet (du 22 janvier 2023) en quatre articles majeurs dirigés par les seniors de PANDORA-ID-NET, le Dr Osman Dar, Sir Ali Zumla, le Professeur Richard Kock et le Professeur David Heymann, analyse le paysage actuel des mesures de prévention, de surveillance et de réponse aux urgences potentielles de santé publique et explore comment l'adoption efficace des approches "Une seule Santé" pourrait améliorer la sécurité sanitaire mondiale.
 
Un événement en lien avec le lancement de cette série sera organisé ce jeudi 26 janvier de 13 à 15 heures GMT. Cet événement sera coorganisé par le Lancet, l'Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA), Chatham House, et le réseau PANDORA-ID-NET. 
 
Le lien d'enregistrement pour l'événement de lancement en ligne de la série One Health de The Lancet (jeudi 26 janvier, heure : 13.00 - 15.00 GMT )

est disponible ici :https://www.chathamhouse.org/events/all/research-event/one-health-approaches-global-health-security

La Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale et sa directrice générale se sont associées au programme « 72 heures pour survivre », une campagne de sensibilisation destinée aux victimes de violences sexuelles de tous sexes et de tous genres. Pour les organisateurs de ce projet, 72h est le délai durant lequel il faut à tout prix réagir après une agression sexuelle.

"Que ce soit pour les preuves biologiques ou physiques, un examen dans les 72 heures suivant l'agression s'avère fondamental."

Félicitations à Toma Suzick l’initiatrice de cette campagne, au collectif 72h pour survivre et bon vent à ce projet salvateur.

L'académie nationale de médecine de France en collaboration avec le réseau d’infectiologues en Afrique subsaharienne vous invite à participer à son premier webinaire qui portera sur l’antibiorésistance le 26 janvier prochain à 15h (UTC+1).

Cette grande réunion sera ponctuée de plusieurs présentations d'éminents scientifiques à l'instar de : 

  1.  Pr François BRICAIRE (Académie nationale de médecine, Paris)
  2. Pr Thimothée Dieudonné OUASSA (Président du comité d'hygiène et prévention-contrôle de l'infection du CHU de Treichville, Abidjan)
  3. Pr Cheikh Saad Bouh BOYE (Président de la Société Sénégalaise de Microbiologie (SOSEMIC), Dakar)
  4. Pr Abdoul-Salam OUÉDRAOGO (Coordinateur du Laboratoire National de Référence des Résistances aux Antimicrobiens du Burkina Faso)
  5. Pr Vincent JARLIER (Académie nationale de médecine, Paris)

Pour plus d'informations ou pour votre  participation à ce webinaire,  veuillez cliquer sur  le lien ci-après :   https://www.academie-medecine.fr/26-janvier-2023-webinaire-lantibioresistance/

La Journée mondiale du sida, qui se tient le 1er décembre, et qui est un moment de réflexion : sur ce que nous avons accompli en matière d’intervention nationale et internationale de lutte contre le sida, et sur ce qu’il nous reste à accomplir.

Le thème de cette année : ÉGALITÉ MAINTENANT , nous rappelle que le VIH prospère là où persistent les inégalités. Lorsque des épidémies se chevauchent comme la COVID-19, la fièvre jaune et d'autres maux sociaux comme la délinquance juvénile dans la plupart des grandes villes africaines, il faut riposter sur plusieurs fronts en même temps. Cependant, en l’absence de stratégies efficaces pour venir à bouts à tous ces maux, il est naturel d'assister à une recrudescence du VIH qui mettrait à mal notre réponse en matière de santé publique à ces épidémies superposées. 

Au regard de l'ODD3 (Objectif du Développement Durable) : Donner aux individus les moyens de vivre une vie saine et promouvoir le bien-être à tous les âges. Il ne nous reste plus que huit ans pour mettre fin au sida comme menace de santé mondiale. Ce thème, nous invite donc à œuvrer en faveur des actions concrètes de l'ONUSIDA qui ont fait leurs preuves et qui sont nécessaires pour lutter contre les inégalités et aider à mettre fin au sida d'ici 2030. Il s’agit de :  

  • Renforcer la disponibilité, la qualité et la conformité des services de traitement, de dépistage et de prévention du VIH afin que tout le monde y ait accès correctement. 
  • Réformer les lois, les politiques et les pratiques pour lutter contre la stigmatisation et l’exclusion auxquelles sont confrontées les personnes vivant avec le VIH et les populations clés et marginalisées, afin que chaque individu soit respecté et accueilli. 
  • Assurer le partage des technologies entre les communautés et entre le Sud et le Nord pour permettre l’égalité d’accès aux meilleures découvertes scientifiques concernant le VIH. 
  • Les communautés pourront utiliser et adapter le message « Égalité maintenant » afin de mettre en évidence les inégalités particulières auxquelles elles sont confrontées et encourager les actions nécessaires pour y remédier.

Le réseau scientifique international GABRIEL accueille son 22ème membre, la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale située à Brazzaville, en République du Congo. En rejoignant le réseau GABRIEL, la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale (FCRM) contribuera à ses projets de recherche sur la tuberculose, les infections respiratoires aigues et la résistance aux anti-microbiens. La FCRM pourra établir des collaborations avec les entités partenaires du réseau pour renforcer ses capacités afin d’appuyer les décideurs et les structures sanitaires du pays et ainsi avoir un impact toujours plus important sur la recherche et la santé de la République du Congo.

La Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale est le 22ème membre du réseau GABRIEL, constitué d’institutions publiques et privées réparties dans 17 pays.

A propos du réseau GABRIEL

Créé en 2008 par la Fondation Mérieux, ce réseau scientifique international œuvre pour développer les capacités de recherche et de formation des laboratoires locaux – en particulier sur la tuberculose, la résistance aux antimicrobiens et les infections respiratoires aigües – et améliorer la surveillance des maladies ayant un impact majeur sur la santé publique dans les pays à ressources faibles ou limitées. Le réseau rassemble les Laboratoires Rodolphe Mérieux, des laboratoires de référence nationaux ainsi que des instituts de recherche académiques, universitaires ou hospitaliers.