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Le 21 février 2018, le Centre de Recherches sur les Maladies Infectieuses de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale a été inauguré par le Ministre de la Recherche Scientifique et l’Innovation Technologique Monsieur Aimé Parfait Coussoud -Mavoungou en présence de deux membres du gouvernement Monsieur Jean Richard Bruno Itoua Ministre de l’Enseignement Supérieur et Madame Jacqueline Lydia Mikolo Ministre de la Santé et de la Population, du Directeur de Total E&P Congo Monsieur Pierre JESSUA et de plusieurs personnalités.

Ce bâtiment rénové par la société Total E&P Congo qui a contribuée également pour l’acquisition de quelques équipements ainsi que le partenariat Afrique-Europe pour les essais cliniques (EDCTP, www.edctp.org)  qui a participé aussi au renforcement de cette structure (équipement et formation).Ce centre  est composé de : 11 salles dont 1 salle de réunion,  2 bureaux ( pour les étudiants et chercheurs), 1 laboratoire pour l’impression 3D, 1 salle froide pour les congélateurs et réfrigérateurs, et 4 laboratoires pour la recherche (Culture cellulaire, Biologie moléculaire et immunologie) , des toilettes pour femmes et hommes. Cette infrastructure qui sera un plus au Congo dédiée à la recherche sur les maladies infectieuses, notamment la tuberculose et le VHI/Sida et autres dites tropicales négligées.

Il sied de rappeler que ce centre a abrité le premier atelier sur l’Impression 3D de la sous-région Afrique Centrale du 06 au 08 février 2018 sur initiative de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale et du Réseau d’Afrique Centrale sur les Essais Cliniques. (CANTAM) financé par l’EDCTP

Le 20 février 2018, la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale et le Réseau d’Afrique Centrale sur les Essais Cliniques (CANTAM) financé par EDCTP (www.edctp.org ) ont organisé conjointement un séminaire sur l’édition du génome du moustique dans la lutte contre le paludisme avec l’outil CRISPR/Cas 9. Les implications éthiques ont été longuement discutées. La Ministre de la santé et de la population Madame Jacqueline Lydia Mikolo a parrainé cette activité et la représentante de l’OMS au Congo Madame Fatoumata Binta DIALLO a activement participé à ce séminaire visant à susciter une voix africaine dans le rôle de l'édition du génome dans l'élimination du paludisme.

Pour y parvenir, la réunion a abordée plusieurs thèmes : l’appropriation par les scientifiques africains de la recherche de solutions pour lutter contre le paludisme, les questions éthiques afin de permettre aux membres des comités d'éthique de mieux se prononcer sur cette technologie et enfin l’information de toutes les parties prenantes afin de les encourager à préparer un environnement réglementaire approprié.

A l’issu de cette réunion les recommandations suivantes ont été faites :

  • Vulgariser cet outil auprès de la population.
  • Engager les autorités de régulation à la réflexion sur le sujet
  • Engager les chercheurs de la sous-région à s’approprier cette technologie qui peut être applicable à beaucoup de domaines

Du 06 au 08 février 2018 s'est tenu au Centre de Recherches sur les Maladies Infectieuses (CeRMI) à la Cité de Scientifique (Ex ORSTOM) de Brazzaville, le premier atelier sur l'impression 3D de la sous-région Afrique Centrale. Cet atelier a été animé par Austin Quinn (USA) et Jens Klinzing (Allemagne). Cette technologie révolutionnaire  ne s'adresse plus seulement à la recherche biomédicale mais à tous les secteurs d'activités. Des participants venus du Gabon, Cameroun, République démocratique du Congo et de la république du Congo ont bénéficié de cette formation. Nous comptons sur eux pour être les formateurs dans leurs pays respectifs. Il sied ici à informer que des sessions de formation gratuite seront organisées par la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale pour toutes les personnes désirant s'approprier cette technologie.  

 

 

 

 

 

Ce Samedi 03 Février 2018 à 10h00, s’est tenue la réunion scientifique de la fondation Congolaise pour la Recherche Médicale dans la salle de réunion du laboratoire de Biologie Moléculaire. Présentée par Mr Christ Jeannhey VOUVOUNGUI sous la modération de Mr Yvon MBOUAMBOU, cette conférence a rappelé les bases de la biostatistique qui est une véritable discipline en soi.  Mr Vouvoungui a montré l’importante d’établir un plan statistique avant de débuter tout projet de recherche et de s’assurer que les données qui seront recueillies seront de bonne qualité. Les différents moyens d’une collecte en fonction du type d’étude, l’analyse répondant à un choix approprié des tests statistiques  et interprétation qui en découlent ont été présentés et discutés.

Ce fut un grand moment d’échanges et les participants ont fortement suggéré à la FCRM d’intensifier ce genre d’interactions.

Jeudi 18 Janvier 2018, soutenance de la thèse de doctorat en sciences naturelles de l’Université Marien NGOUABI par Mademoiselle Madingha Kosso ETOKA-BEKA. Le jury était présidé par prof. Marielle BOUYOU-AKOTET de l’université des scinecs de la santé du Gabon. L’impétrante s’est bien défendue et a obtenu le doctorat avec la mention très honorable.
Titre de la thèse : Etude de l’infection à Plasmodium falciparum chez les enfants porteurs du trait drépanocytaire et consultés à l’hôpital pédiatrique Marien NGOUABI de Brazzaville. 
Ce travail a été réalisé au laboratoire de biologie moléculaire de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale (www.fcrm-congo.com) sous la supervision scientifique du Professeur Francine NTOUMI. 
Cette soutenance a été rehaussée par la présence de la première Dame de la république du Congo, Madame Antoinette Sassou-Nguesso dont la Fondation CONGO ASSISTANCE a participé au financement du travail du Dr ETOKA-BEKA . Les ministres Bruno Jean-Richard ITOUA et Thierry MOUNGALLA ont aussi assisté à cette soutenance. Nous apprécions que la recherche scientifique menée au Congo soit ainsi fortement encouragée.

Le 21 Décembre 2017, a eu lieu la cérémonie  officielle de remise des clés du bâtiment du laboratoire d’entomologie agricole (appartenant à la recherche scientifique)   et affecté aux activités de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale  par le ministre de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, Mr Parfait Aime COUSSOUD-MAVOUNGOU.

Ce bâtiment va abriter le centre de recherches sur les maladies infectieuses (CeRMI) de la Fondation congolaise pour la Recherche Médicale.

Journée de la science au service de paix et du développement, le 10 Novembre 2017. Elle a été célébrée avec les élèves des lycées d’excellence de Massengo, Sébastien Mafouta et Patrice Emery Lumumba ainsi que leurs enseignants. Un débat a été organisé par la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale a à la cité de la recherche ex-ORSTOM et les élèves ont pu échanger avec les scientifiques. Le but de cette sensibilisation est de susciter de l’intérêt, voire des vocations pour les carrières scientifiques. Le ministre de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, Mr Martin Parfait Aimé COUSSOUD-MAVOUNGOU a longuement discuté avec des élèves ravis qui ont posé beaucoup de questions.

Tous les partenaires du réseau d’Afrique centrale sur la recherche clinique (CANTAM) ont tenu leur première réunion le jeudi 26 Octobre 2017 à Brazzaville. Ce réseau financé par l’EDCTP (Partenariat Europe-Afrique sur les essais cliniques, www.edctp.org ) a pour but de renforcer la recherche clinique (ressources humaines et infrastructure) conduite au Cameroun, Gabon, république démocratique du Congo et république du Congo. Les pays européens impliqués dans le réseau sont : L’Allemagne, les Pays-Bas, le Royaume-Uni

La Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale (FCRM) à participer au Salon de l’Orientation Scolaire et Professionnelle du 09 au 11 octobre 2017 à l'hôtel de Ville de Brazzaville. "Sciences et Développement : Quelles opportunités ?’’. Thème exposé par le Professeur Francine Ntoumi présidente de la Fondation Congolaise pour la Recherche Médicale à ce Salon.

Aujourd'hui est la journée africaine de la médecine traditionnelle. Il faut favoriser l'intégration de la médecine traditionnelle dans les systèmes de santé dans la région Afrique. Mais le dialogue est tellement limité entre les chercheurs et les tradipraticiens. Comment valider leurs protocoles si l’on n’utilise pas des méthodes rigoureuses d’investigation ? Et cela doit être fait ensemble.