Projet sur les connaissances, attitudes, pratiques et obstacles à la pharmacovigilance chez les professionnels de la santé à Brazzaville en 2022
Ce projet vise à évaluer les connaissances, attitudes, pratiques et obstacles à la pharmacovigilance et à la déclaration des effets indésirables des médicaments et autres produits de santé chez les professionnels de la santé à Brazzaville.
Cette étude se déroule dans les hôpitaux de référence et permettra de
1. De déterminer le niveau de connaissances des professionnels de la santé sur la pharmacovigilance,
2. De déterminer les attitudes des professionnels de la santé devant un EIM;
3. De décrire les pratiques comportementales des professionnels de la santé face à un patient présentant un EIM et d’identifier les obstacles à la notification des effets indésirables des médicaments et autres produits de santé chez les professionnels de la santé
Caractérisation des infections virales responsable des diarrhées sévères chez l’enfant de moins de cinq ans à Brazzaville.
Évaluer le profil épidémiologique des gastroentérites virales chez les enfants de moins de 5 ans hospitalisés pour une gastroentérite et ayant été vaccinés ou non contre l’infection à Rotavirus
This work under the CANTAM3 project (EDCTP-RegNet2015-1045) is part of the EDCTP2 programme supported by the European Union”.
Caractérisation du profil de résistance des souches de VIH aux antirétroviraux chez les enfants, adolescents et jeunes adultes congolais sous traitement.
Déterminer le niveau de résistance du VIH aux antirétroviraux utilisés en République du Congo chez les enfants, adolescents et jeunes adultes congolais sous traitement.
Profil épidémiologique et caractérisation moléculaire de la Trypanosomiase Humaine Africaine en milieu rural au nord et au sud de la République du Congo
Évaluer les situations socio-culturelle et épidémiologique liées à la Trypanosomiase Humaine Africaine et de caractériser les espèces en circulation au Congo
Les résultats de cette étude ont montré que les répondants lors du sondage ont décrit la THA comme une maladie rurale (48,2%) ou une sorcellerie (22,3%) et les principales raisons de la non-adhésion au dépistage de la THA étaient la peur de la ponction lombaire (45,9%) et la stigmatisation (22.3%). Les résultats ont été rapportés dans deux publications scientifiques (Elenga et al. 2022, Pan Afr Med J. 2022 Aug 25;42:309, & Elenga et al. 2022, BMC Public Health. 2022 Dec 12;22(1):2322.)