Étude transversale rétrospective sur l’analyse des variants du SARS-CoV-2 et suivi des séquelles à long terme du COVID-19
Décrire les caractéristiques des séquelles de la COVID-19, via les évaluations cliniques, de laboratoire et radiologiques.
Ce projet est en cours de collecte de données.
Efficacité des vaccins contre la COVID-19 en République du Congo : immunogénicite, ré-infections et variants de SARS-COV2
But du projet : Evaluer chez des personnes vivant à Brazzaville ayant été vaccinées avec les vaccins Sinopharm ou Jansen&Jansen, la protection apportée par ces deux vaccins. La protection est évaluée en considérant les indicateurs suivants : la ré-infection par SARS-COV2, les symptômes ou non en cas de ré-infection, l’hospitalisation ou non, la mise sous-respirateurs ou non).
Enquête séro-épidémiologique de l'infection par le virus SARS-COV2 (COVID-19) en république du Congo
But du projet : Une étude visant à comprendre la circulation du virus SARS-COV2 à Brazzaville, Pointe-Noire et Bomassa (Nord du Congo) a été initiée en Mars 2020 . En 2021, grâce à la mise en place de l’unité de séquençage au sein du centre de recherches sur les maladies infectieuses, l’identification des variants de SARS-COV2 en circulation dans le pays, est suivie en temps réel. L’étude de séroprévalence consiste à évaluer régulièrement les taux d’immunoglobulines G et la proportion ainsi que la capacité de neutralisation des anticorps contre la protéine spike du virus SARS-COV2
Diversité génétique et fréquence des allèles de Plasmodium falciparum msp-1 et msp-2 dans des isolats de parasites provenant de cas de paludisme non compliqué à Brazzaville, République du Congo.
Faire un état des lieux sur la diversité des souches de Plasmodium falciparum en circulation en milieu communautaire ainsi que le profil des marqueurs de résistance aux combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine au sud de Brazzaville et ses environs. Ceci cadre avec la politique de surveillance régulière du niveau de transmission de l’infection palustre et de la résistance aux antipaludiques préconisée par l’OMS, permettant ainsi d’adapter au mieux les stratégies de contrôle du paludisme dans cette zone.
Les premiers résultats de ce travail ont montré que la multiplicité d’infection des isolats de Plasmodium falciparum était plus élevée en zone rurale (2,43 ± 1,06) par rapport à la zone urbaine (2,01 ± 0,92). La saison des pluies était un facteur de risque pouvant favoriser une augmentation significative de la multiplicité d’infection de Plasmodium falciparum en milieu rural.
Par ailleurs, une forte prévalence de mutations au sein des gènes dhfr et dhps de Plasmodium falciparum a été détectée dans les isolats prélevés dans le district de Madibou, ce qui pourrait menacer à long terme l’efficacité du traitement préventif intermittent à la sulfadoxine pyrimethamine dans cette zone.
This research was funded by CANTAM (Central Africa Clinical Research network) [EDCTPRegNet2015-1045]. This work is also supported by the Fondation Merieux and the Alexander von Humboldt foundation.